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Courrier des théâtres

Le Figaro – Vendredi 21 janvier 1876

Offenbach a gardé le lit pendant quelques jours à Vienne et a dû refuser d’aller diriger à Brünn la première de la Créole. En ce moment, le maëstro doit être en route pour Paris en passant par Monaco.

Mon cher Jacques, je vous recommande le 2, le 14 et le 35 trois numéros infaillibles. Le 7 est aussi un bon numéro, mais il ne vaut pas les trois autres.

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(...)

Pour revenir à cet infortuné Théâtre-des-Arts, qui ne peut pas faire une moyenne de trois cents francs, il faut dire qu’il eut pourtant son heure de succès. A cette époque, on refusait de l’argent tous les soirs. Il est vrai que l’affiche n’était pas très littéraire : on jouait Geneviève de Brabant, et les deux gendarmes faisaient courir tout Paris.

Avec l’opérette ? Oui, mon cher Sarcey ! Dans mes bras, et pleurons ensemble !

Cendrillon.

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