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Théâtres

Le Figaro – Lundi 30 mars 1868

Aux Variétés, le Pont – suspendu – des Soupirs a été repris et si vivement mené, qu’on pourra, quand on le voudra le livrer au public.

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Que fait Offenbach… pour se reposer ?

Vous croyez qu’il ménage sa santé selon les arrêts des docteurs…

Il écrit la musique d’une opérette en deux actes, commandée par le théâtre d’Ems, la Princesse de Trébizonde, paroles de MM. Tréfeu et Nuitter.

C’est dans une dizaine de jours, au plus tard, que l’Athénée donnera la première représentation de l’opéra bouffe en trois actes, de MM. Chivot et Duru, musique de M. Charles Lecocq.

Cette pièce, qui a été annoncée et répétée sous le titre de Fleur de thé, s’appellera définitivement la Loi du Tsinn.

Désiré jouera un mandarin, Léonce un capitaine de tigres, et Irma Marié jouera pour la première fois un rôle à cascades, genre Alphonsine.

C’est aussi dans la Loi du Tsinn que débutera M. Sytter, qui remplissait, à Versailles, il y a quelques mois, les rôles de Dupuis dans les pièces d’Offenbach.

Jules Prével.

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