Monsieur le rédacteur,
Je viens de lire dans le Figaro de ce jour, sous la signature de M. Scholl, que j’ai touché de mademoiselle Schneider une gratification de 500 francs. J’affirme n’avoir jamais reçu de mademoiselle Schneider que mes appointements, réglés par le théâtre, et pour toute la peine que je me suis donnée pendant les trois créations qu’elle a faites aux Variétés, je n’ai eu comme récompense que le titre honorifique de coiffeur de la grande duchesse de Gérolstein.
Recevez, monsieur, mes salutations.
A. Girot-Vergne
Coiffeur du théâtre des Variétés
Jules Prével.
