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Théâtres

Le Figaro – Mercredi 30 janvier 1867

Un joli mot que nous trouvons dans la France :

Ce journal dit, à propos de mademoiselle Cora Pearl, qu’elle a été huée d’applaudissements.

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Si mademoiselle Pearl, qui, comme nous l’avons dit, n’est pas engagée, abandonnait subitement les Bouffes, elle serait remplacée par mademoiselle Marie Petit.

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Le comte D… vient de faire offrir – ou d’offrir lui-même – à mademoiselle Pearl, 50,000 francs en échange des bottines qu’elle porte dans le rôle de Cupidon.

Avec ou sans les diamants qui servent de boutons ?

On se l’demande.

Jules Valentin.

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