(...)
Je reste longtemps pensif, assis sur le rivage, poursuivi par le souvenir de la vision matinale. Tout à coup, dans le lointain, un refrain d’Offenbach. Voilà les baigneurs et les baigneuses de Paris.
Edmond Texier.
Le Gaulois – Mardi 7 juillet 1868
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Je reste longtemps pensif, assis sur le rivage, poursuivi par le souvenir de la vision matinale. Tout à coup, dans le lointain, un refrain d’Offenbach. Voilà les baigneurs et les baigneuses de Paris.
Edmond Texier.