Notre ami Noriac nous écrit une lettre pour nous dire que la Diva ne fait pas des siennes, et que les rapports que doit avoir mademoiselle Schneider avec ses camarades et la direction sont de la plus parfaite convenance.
Le rôle de Bonnet n’a pas été supprimé, et Désiré n’a pas à se plaindre de la Grande-Duchesse, rien n’a troublé l’harmonie qui doit exister entre ces artistes qui s’apprécient depuis longtemps.
Gustave Lafargue.