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La question d’Orient finit comme une opérette, il n’y manque que la musique d’Offenbach.
Le sultan vient de faire confectionner un sabre... oh ! mais, un sabre étourdissant, en or, avec une poignée en diamants, le tout pour en faire cadeau au roi Georges.
Désormais, lorsque le jeune rejeton des rois de Danemark passera une revue, il brandira
Le sabre, le sabre du sultan.
Et la fanfare militaire entonnera le quadrille de la Grande-Duchesse.
Eh bien, voyons, entre nous, cela ne vaut-il pas mieux, qu’une guerre pour de bon, avec des chassepots pour de vrai ?
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Al. D.