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Gazette de Paris

Le Figaro – Jeudi 12 novembre 1868

Après les trois nominations du capitaine général Prim, de son auguste fils le lieutenant Toto et du colonel Tamberlick, ce qui m’a le plus fait rire dans la révolution espagnole, c’est le décret de l’illustre père de l’illustre Toto, qui exhorte les militaires de son pays à s’abstenir soigneusement de prendre part, soit isolément, soit par groupes, à aucune réunion ayant un caractère politique.

Cette bouffonnerie mérite d’être mise en musique par Offenbach !

(...)

Albert Wolff.

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