Offenbach, capitonné de chaudes fourrures à rendre jaloux un boyard, fait répéter Vert-Vert à l’Opéra-Comique.
On dit la pièce habilement faite et lui fournissant un cadre où Fortunio pourra se retrouver.
Mais le ton général de la partition serait l’humour et le brio que jusqu’à ce jour l’auteur de la Belle Hélène s’était cru obligé de laisser au vestiaire quand il touchait le seuil de l’Opéra-Comique.
Cette fois donc, il se livrera plus librement à ses inspirations et à son naturel.
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Dans la crainte que Capoul ne tombe malade, enfin pour parer à tout accident, à tout événement, mademoiselle Girard apprend le rôle de Vert-Vert en même temps que le jeune ténor.
Jules Prével.