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Courrier des théâtres

Le Figaro – Jeudi 10 mai 1866

M. Henri Meilhac a fait assez de jolis mots dans sa vie pour que nous en puissions rapporter un naïf.

Un de mes amis lui demandait l’autre jour s’il n’avait point travaillé à la Chanson de Fortunio.

– La pièce est charmante, ajoutait-il.

– Oui, répondit l’auteur du Petit-Fils de Mascarille, c’est pour cela qu’on a cru que j’en étais.

Jules Guinot.

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