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Échos de Paris

Le Figaro – Dimanche 27 juillet 1856

Un correspondant, M. C. Ledhuy, nous écrit à propos du concoure-Offenbach :

« A mon avis, M. le directeur-compositeur des Bouffes me semble avoir pris trop à la lettre le mot de votre illustre patron : – Ce qui ne vaut pas la peine d’être dit, on le chante ! – Le rôle du poète me paraît singulièrement restreint dans ce concours exclusivement musical. J’aurais mieux compris l’initiative bienveillante du directeur des Bouffes-Parisiens, s’il eût agi à l’égard du poème ou livret qui doit servir aux concurrents – de la même manière qu’à l’égard de la partie lyrique du concours. »

– Nous renvoyons l’objection à l’ami Offenbach. »

Legendre.

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