La pièce en un acte, qui doit passer aux Bouffes dans les premiers jours de février, ne s’appellera pas la Crète libre, ainsi que nous l’avions annoncé.
Son titre définitif est : le Congrès du plat d’étain.
Voici la distribution des rôles :
| Adhémar de Kulforstein, | MM. | Désiré |
| Roland Longeveau, | Bonnet | |
| Mitschlaff, | Hamburger | |
| Delphine Hochefort, | Mes | Thierret |
| Blanquette, | Raymonde |
Les autres rôles (cuisiniers et marmitons) seront tenus par des artistes secondaires.
On parle de certaine ronde chantée pendant la grande séance qui aura le retentissement et le succès de la chanson du Brésilien...
La modestie de Jacques Offenbach l’empêche de le dire, mais nous tenons le fait d’un témoin auriculaire qui est bon connaisseur.
(...)
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Tous les jours, leçons d’ensemble sur le premier acte de la Diva.
Notre oreille indiscrète a entendu Nathan chanter quelque chose du plus pur auvergnat... On voit que Nathan a eu de longues relations avec Palianti.
Puis vient un chœur aux paroles simples :
Pauvre Jeannette,
Ah ! que c’est bête !
Ne te mets pas
En ces états.
Sur cette poésie familière, Jacques Offenbach a trouvé moyen de mettre une charmante musique.
Jules Prével.
