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Au début de ce siècle et sous la Restauration, les pièces empruntées, comme celle-ci, Chez Diderot, aux annales de l’histoire et de la littérature, étaient très à la mode.
C’était ce que l’on nommait alors des galeries.
Mais ces petits tableaux où revivaient les personnages célèbres supposaient chez les auteurs de l’instruction et chez le public le goût de s’instruire.
Aussi notre époque y a-t-elle renoncé !
Nous avons remplacé ces fines études du passé par la Belle-Hélène, Chilpéric, etc.
Gustave Lafargue.