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Échos de Paris

Le Figaro – Vendredi 16 juillet 1869

A Mabille, entre deux scènes de boxe :

— Vois-tu, ma chère, moi je suis comme la Grande-Duchesse d’Offenbach, j’adore les militaires... C’est gentil, c’est brillant, c’est aimable...

— Tant que tu voudras, mais ce n’est pas avec des militaires qu’on peut se faire une liste civile.

(...)

Louis de Camors.

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