A Mabille, entre deux scènes de boxe :
— Vois-tu, ma chère, moi je suis comme la Grande-Duchesse d’Offenbach, j’adore les militaires... C’est gentil, c’est brillant, c’est aimable...
— Tant que tu voudras, mais ce n’est pas avec des militaires qu’on peut se faire une liste civile.
(...)
Louis de Camors.