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Courrier des théâtres

Le Figaro – Samedi 27 mars 1869

Les Variétés annoncent les dernières représentations de Barbe-Bleue.

Je ne pense pourtant pas que M. Cogniard ait le courage de retirer cette pièce de l’affiche avant les vacances de Pâques : il faut que les lycéens, espoir des avant-scènes, voient mademoiselle Aimée, la jugent, la comparent à mademoiselle Schneider et se forment une opinion sur son compte. C’est très important !

Barbe-Bleue vivra donc huit jours encore. Après quoi, les Variétés ne s’occuperont plus que de la Cour du roi Pétaud.

La troupe des Bouffes-Parisiens doit quitter Paris le 1er juin, elle ira passer un mois à Bade, un mois à Francfort-Hombourg, un mois à Lyon.

Elle sera de retour ici pour la réouverture, qui aura lieu dans la première quinzaine de septembre.

Il y a maintenant quatre-vingt-dix-neuf chances, à parier contre une pour que la Diva soit la dernière pièce représentée cette saison.

Jules Prével.

Au 1er avril, Brasseur prend son congé de quatre mois et va désopiler la province avec une petite troupe de vaudeville et d’opérette formée par lui.

Berthelier, profitant des représentations de la Diva, va jouer le Canard à trois becs à Lille.

Gustave Lafargue.

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