Aux Variétés, par mesure de précaution, mademoiselle Garait répète le rôle de mademoiselle Schneider dans la Grande-Duchesse.
Mais nous croyons savoir que, lorsque mademoiselle Schneider abandonnera – la volage – son duché de Gérolstein pour les Etats du Gherhostein, c’est mademoiselle Tautin qui lui succédera.
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Maintenant, on nous assure que mademoiselle Schneider débutera au Châtelet beaucoup plus tôt qu’on ne pensait.
Ainsi, mademoiselle Schneider ne devait d’abord paraître au Châtelet que dans le Petit chaperon rouge.
Mais comme cela pourrait ajourner trop longtemps son apparition, les auteurs des Voyages de Gulliver, qui vont passer après Cendrillon, viennent d’intercaler pour elle, dans cette féerie, un rôle très développé.
Et mademoiselle Schneider quitterait son rôle de la Grande-Duchesse vers le 10 octobre, pour se consacrer tout entière aux répétitions des Voyages de Gulliver.
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Dimanche dernier, le spectacle des Variétés, composé de vaudevilles, n’a produit que 1,600 francs. Il faisait chaud, à vrai dire.
Mais la Belle Hélène – une vieille beauté, à cette heure, – par les températures les plus accablantes, n’a jamais été au-dessous de 2,600 francs.
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Le petit Théâtre des Folies-Saint-Antoine, sous la nouvelle direction de M. Hubert, fera samedi prochain sa réouverture.
On jouera un à propos : Ah ! que j’aime les militaires !… un acte de M. Monréal, et les Bêtes à cornes, quatre actes de MM. Hermil et Séguin.
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(…) En attendant, on joue ailleurs d’Offenbach : le Violoneaux, le Soixante-six, les Deux Aveugles, Lischen et Fritschen, etc.
Et cela sans traités. (…)
Jules Prével.
