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Théâtres

Le Figaro – Jeudi 10 janvier 1867

Monsieur le rédacteur,

La gracieuse façon de procéder de M. Avette, à l’égard de M. de Roquefort, n’est point un fait sans précédent, ainsi que vous le croyez.

(...)

Ce qu’a été cette représentation je n’ai pas besoin, de vous le dire. Si Louis Bouilhet, comme Offenbach à Nice, n’est pas sorti au milieu du spectacle, c’est qu’il n’était pas à Clermont, mais plusieurs spectateurs ont quitté leurs places après le troisième acte.

(...)

Albert Glatigny.

___

Est-ce possible ?

Brasseur, l’immortel Brésilien de la Vie parisienne, prend, à partir du fer février, un congé de deux mois qui lui est dû depuis longtemps par la direction du Palais-Royal.

La Vie parisienne sans Brasseur ! Je plains l’artiste qui le remplacera, quel que soit d’ailleurs son talent. Je plains surtout la direction qui ne rachète pas à prix d’or, en pareille circonstance, le congé de ce grand comique.

Jules Valentin.

Nous publierons demain, à propos de l’affaire Silly-Schneider, une lettre de mademoiselle Schneider et une lettre de M. Hippolyte Cogniard, que nous recevons trop tard pour les insérer aujourd’hui.

J. V.

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