M. Dupuis est de retour de Londres.
Il prétend que depuis l’accident de mademoiselle Schneider, les Anglais farceurs et endurcis n’appellent plus celle-ci que : la Bergère de Do, ré, mi, ou la Pucelle de Gérolstein !
Gustave Lafargue.
Le Figaro – Samedi 7 août 1869
M. Dupuis est de retour de Londres.
Il prétend que depuis l’accident de mademoiselle Schneider, les Anglais farceurs et endurcis n’appellent plus celle-ci que : la Bergère de Do, ré, mi, ou la Pucelle de Gérolstein !
Gustave Lafargue.