22 septembre 1867
Étranger
Berlin. — (...) Les Bavards, d’Offenbach, ont été repris au théâtre de Friedrich-Wilhemstadt, avec Mlles Lina Mayr, Schubert et Kock. Cette charmante opérette fait chaque soir salle comble avec la Vie Parisienne.
La Vie parisienne
Les Bavards (Bavard et Bavarde)
22 septembre 1867
La Grande-Duchesse de Gérolstein
29 septembre 1867
La liste des victoires et conquêtes de la Grande-Duchesse s’augmente tous les jours. Nous ne pouvons que résumer, le plus brièvement possible, le bulletin de ses triomphes. Les principaux théâtres de la province, en effet, jouent en ce moment ou s’apprêtent à jouer l’ouvrage devenu si rapidement célèbre du maestro qu’un journal appelle « l’Hogarth musical. » — Le 21, Lyon a vu apparaître la Grande-Duchesse, sous les traits de Mlle Jeanne, Mme Goby ayant été obligée de résilier pour cause (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein
Geneviève de Brabant
6 octobre 1867
Hier a eu lieu, au théâtre des Variétés, la cent cinquantième représentation de la Grande-Duchesse. On sait à quel niveau se soutiennent les recettes et le succès. ___
Applaudie et fêtée dans les théâtres des villes principales de la province, la Grande-Duchesse commence à faire son apparition avec un succès au moins égal sur nos scènes secondaires. A Versailles, d’excellents interprètes soutiennent la vogue passionnée qu’entraîne et qu’excite partout le répertoire d’Offenbach. Mme (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein
6 octobre 1867
Étranger
Leipzig. — Offenbach est venu et a vaincu, le 28 septembre, avec la Vie Parisienne. Le théâtre était comble, et l’opérette est allée aux nues. De plus, la critique musicale, un peu collet-monté ici, s’est singulièrement adoucie et ne jette plus les hauts cris à l’apparition de ce qu’elle appelait une offenbachiade. ___
Berlin. — (...) Cent représentations d’Orphée aux enfers ont été données en cent soixante-sept jours au petit théâtre de Friedrich-Wilhelmstadt ; elles ont (...)
Orphée aux Enfers
La Vie parisienne
6 octobre 1867
La Grande-Duchesse de Gérolstein
13 octobre 1867
(...) Il est bon que les compositeurs qui ne sont pas élevés à l’école d’Offenbach et d’Hervé, et qui ont cependant dans la tête quelques idées gracieuses et originales, trouvent une scène pour les produire. (...)
D.
13 octobre 1867
La Grande-Duchesse de Gérolstein
13 octobre 1867
20 octobre 1867
Lundi dernier, Mlle Irma Marié, le gentil et tremblant Valentin de la Chanson de Fortunio, a débuté au théâtre Lyrique dans le rôle de Pamina de la Flûte enchantée, qui n’est pas précisément dans le genre de sa voix et de son talent. Comédienne très-naturelle, fort expressive, chanteuse à la voix chaude et pénétrante, Mlle Irma Marié a courageusement lutté contre l’émotion qui la dominait, et aussi contre le souvenir de Mme Carvalho. Ses progrès sont manifestes, sa voix a gagné en (...)
La Chanson de Fortunio
La Grande-Duchesse de Gérolstein
Les Brigands