1868

Nouvelles des théâtres lyriques

23 février 1868
Nous mentionnions dimanche le succès de Robinson Crusoé au théâtre de Lyon ; notre correspondant nous mande que l’exécution de l’opéra d’Offenbach n’a rien laissé à désirer. L’orchestre, dirigé par M. Luigini, enlève l’ouverture et détaille finement les spirituelles nuances de la partition. M. Peschard (Robinson) marque son rôle au coin du bon goût et de l’intelligence qui caractérisent ton talent. Barbot (Toby) est un type réussi d’indécision, de poltronnerie, de niaiserie bouffonnes. M. (...)
Robinson Crusoé

[Non titré]

23 février 1868

Robinson Crusoé

Revue des théâtres

8 mars 1868
Une parodie, inspirée par la Geneviève de Brabant de l’universel Offenbach, attire du monde au Théâtre-Déjazet. Le Genièvre de Bréhant n’est du reste qu’un prétexte pour défrayer les trois tableaux d’une revue qui embrasse toutes les actualités du jour.
D. A. D. Saint-Yves.
Geneviève de Brabant

Nouvelles des théâtres lyriques

8 mars 1868
Le succès de Robinson Crusoé s’accentue de plus en plus à Lyon : les airs en sont chantés dans les rues et y deviennent populaires. La direction et les artistes, Mlles Corlez, Mézeray, Douau, MM. Peschard, Barbot, Feret, ont rencontré dans l’œuvre d’Offenbach un succès du meilleur aloi.
On annonce, à Troyes, les représentations très-prochaines de la Grande-Duchesse avec M. Carrier, le désopilant ténor comique qui, l’année dernière, a obtenu un si grand succès sur cette scène. Caen (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein Robinson Crusoé

Nouvelles des théâtres lyriques

15 mars 1868
Il y a toujours grande foule au théâtre des Variétés pour entendre la Grande-Duchesse. * * *
L’opérette-bouffe de J. Moinaux et Offenbach : Dunanan père et fils, remaniée en quatre actes, va être jouée au théâtre des Menus-Plaisirs. * * *
En présence des succès obtenus par Mme Rose Bell, au théâtre de Liège, la direction s’est décidée à monter les Bavards d’Offenbach ; Mme Rose Bell y remplira le rôle créé par Mme Ugalde, et son gracieux talent lui promet un nouveau triomphe. La (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein Le Voyage de MM. Dunanan père et fils

Revue des théâtres

22 mars 1868
(...) Palais-royal : reprise de la Vie Parisienne d’Offenbach. (...)
– Constatons, pour mémoire, que le Palais-Royal vient de reprendre, avec éclat, la Vie Parisienne, d’Offenbach, où l’on retrouve les principaux artistes de la création : Brasseur, Hyacinthe, Gil-Pérès, Priston, Lassouche et Mlle Zulma-Boutfard. Mlle Aline Duval y remplace Mme Thierret, et l’on a engagé, pour compléter la distribution féminine, Mlles Baron, Lovato et Paurelle.
La Vie parisienne

Nouvelles des théâtres lyriques

22 mars 1868
MM. Henri Meilhac, Ludovic Halévy et Jacques Offenbach ont lu jeudi, aux artistes du théâtre du Palais-Royal, les deux premiers actes de leur pièce nouvelle : le Château à Toto.
La nouvelle du changement de direction des Bouffes-Parisiens et du retour de ce théâtre à son premier genre, l’opérette, s’est confirmée cette semaine. A partir du 1er juin prochain, l’administration de cette scène aura à sa tête MM. Jules Noriac et Ch. Lecomte, le propriétaire de la salle, mais la réouverture ne (...)
Robinson Crusoé Le Château à Toto

Nouvelles des théâtres lyriques

29 mars 1868
La Grande-Duchesse vient d’être représentée à Rennes avec une distribution excellente, de beaux costumes et une mise en scène complète. Sous ce triple rapport, les journaux de la ville accordent sans restriction leurs éloges à M. Gilbert-David (Fritz), comme directeur et comme artiste. La salle était comble, cela va sans dire, à la première, et le succès n’a fait que grandir aux représentations suivantes.
Le théâtre des Variétés de Lille a eu l’heureuse idée de reprendre la (...)
Les Bavards (Bavard et Bavarde) Mesdames de la Halle

Nouvelles diverses

29 mars 1868
Carlotla Patti, Vieustemps, Seligmann, Berthelier, qui formaient la Compagnie Ulmann, sont de retour à Paris. Parmi les artistes qui ont reçu dans cette brillante tournée l’accueil le plus chaleureux, le joyeux chanteur de chansonnettes Berthelier, partout où il s’est fait entendre, a recueilli les plus vifs applaudissements. Un des morceaux qui ne manquait jamais son effet sur le public est l’Air bouffe anglais d’Offenbach, que le chanteur était toujours obligé de bisser, et qu’il a dit (...)
[Airs lyriques]

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